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BIO


Fabien «Pakin» Hily

    Hyper actif, enfant du hip hop et du jazz, chanteur atypique, percussionniste, auteur compositeur, son parcours sera marqué par ce va-et-vient incessant entre modernité et tradition.
    

Avant de connaître le succès avec le «latin soul band» parisien Setenta, Fabien Hily chante, compose et marque le rythme à la percussion au sein de différents projets allant du traditionnel, aux musiques actuelles depuis l'âge de 16 ans.

    A partir de 2006, il intègre Setenta en tant que co-auteur, co-compositeur et se produit aussi bien au chant qu’à la percussion avec ce groupe à l’agenda bien rempli depuis 2012 : Kaunas Jazz Festival (Lituanie), Jazz à Vienne avec Orlando Julius précurseur de l’Afro Beat, Madrid (Festival Cultura Inquieta), Dublin (Galway festival), Paris (New Morning) ; sans oublier Juan-les-Pins (à l’invitation d’Orquesta Aragón), Banlieue Bleue en plateau avec Roberto Fonseca ou encore le Paradisio à Amsterdam avec Erika Badu. De quoi diffuser massivement les créations du récent album «Latin Piece of Soul», acclamé par la critique (FIP, Nova, France Inter et Le Monde).

    Son intérêt pour les musiques nouvelles l’amène à participer à différents projets live avec des DJ et à des enregistrements comme
SAO PARIS électro Brasil (Fcom) mais aussi des groupes expérimentant les métissages musicaux comme Min Mêlé (fusion Afrique jazz latin) avec des musiciens comme le pianiste Jean Marc Bellon (Papa Wemba), Didier Roch (Guem), Manfasroll (Julien Loureau) ou le groupe TuiTui (latin funk). Il gardera néanmoins toujours un pied dans le traditionnel avec des groupes comme Bataola (comparsa cubaine) ou Pakinkila (fiesta del tambor). En 2007 il forme NOSOY signé chez Torrance Records, groupe de musiques urbaines (latin slam band) avec le guitariste et compositeur de musique de film Christian Tramoni.

    A la source du parcours musical de Fabien Hily, il y a d’abord des rencontres. Avec Laurent Lamy, qui l'initie aux musiques afro-cubaines (école Arpej) puis avec le percussionniste vénézuélien Orlando Poleo qui le forme aux tambours Batas ; une formation qu’il consolide également à l’école Abanico auprès de grands noms comme Anga Diaz (Irakere), George Delgado (Tito Puente), Javier Campos Martinez (Afrekete), Guillermo Garcia, Emanuel Brito Laly (Clave y Guaguanco) etc.…

    Il y a aussi des lieux. La Havane et Matanzas d’abord, pour parfaire une initiation aux musiques traditionnelles et aux chants de la Santería notamment avec le percussionniste et Babalao Jesús Feliz Espada à l’Institut Supérieur des Arts de Cuba. Puis Paris, où Fabien obtient un DEM (percussions traditionnelles, spécialité Afro-cubaine) avec les félicitations du Jury, au conservatoire sous la direction de Paul Mindy spécialiste des musiques Brésiliennes.

    En plus de ses tournées, il travaille régulièrement comme réalisateur à Radio France Internationale (rédaction Amérique Latine). Fabien Hily se produit également comme percussionniste, chanteur et flûtiste au sein du groupe Caribbean Funk Orchestra, Swala Emati, Sissy Akoma, Sambaquis... Récemment, invité au chant et à la percussion pour l’enregistrement de l’album «A Yo» de Niko Coyez (Maloya fusion) ainsi que pour celui de Gaby Diop (Soul caribéenne), il poursuit parallèlement son exploration musicale et l’élargissement de ses connaissances au travers de formations Jazz (saxophone ténor et flûte traversière).



Raphaël Morán
Journaliste
Paris

 

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